lundi 7 janvier 2008

Tiesto feat. Charlotte Martin - Sweet Things

vendredi 4 janvier 2008

Obama 1, Clinton 0.

Jeudi soir, M. Obama a devancé largement aux assemblées électorales (caucus) démocrates de l'Iowa l'ex-candidat à la vice-présidence John Edwards, qui se présente aujourd'hui comme "le candidat du peuple", Hiilary Clinton arrivant 3e!

Il parait toujours drôle (et confortable) de réagir sur une telle actualité. Marrant en effet de voir que le challenger score et devance largement, pour ce premier caucus, Hillary, qui est pourtant annoncée comme la future candidate des démocrates lors des élections qui se dérouleront au mois de novembre 2008 par l essentiel des médias.

Relativisons tout de même cette défaite de Madame Clinton : c est la première consultation électorale dans un petit État conservateur américain. Il n y a pas a priori de raison pour que les démocrates de cet État n essaient pas majoritairement une solution "nouvelle" plutôt que de tenter une équipe plus expérimentée, mais qui traîne aussi deux défaites successives, aux élections présidentielles américaines, avec elle.

Deuxième round : New Hampshire, vendredi.

jeudi 3 janvier 2008

Fadela Amara ne votera pas Sarkozy... en 2012 !

Nouvelle enrichissante et extraordinaire : Fadela Amara ne votera pas Sarkozy. Chouette :)

C est une femme de gauche, qui a décidé de rentrer dans un gouvernement de droite parce qu il y avait urgence dans les banlieues. Ca c est plutôt bien, bon point Fadela...

En voila au moins un ! Un bon point... Et les points, dans l avenir, risquent d avoir une importance et une portee comme jamais dans notre beau pays.

En effet, comme l avait annonce Nicolas Sarkozy durant la campagne presidentielle, les ministres seront dorénavant évalués et devront rendre des comptes au President de la Republique. Le porte-parole de l Elysee, Laurent Wauquiez précise : "Pourquoi la politique serait le seul domaine en France à ne pas faire l'objet d'évaluation ? Les ministres comme les autres doivent rendre des comptes".

Pas faux...

mardi 1 janvier 2008

Le côté "perplexe" de Vincent Peillon

Suite aux vœux du Président de la République accompagnant la nouvelle année, le député européen PS Vincent Peillon a commenté mardi que "Nicolas Sarkozy tel qu'il fait les choses aujourd'hui marque une rupture par rapport avec une histoire (...) mais je ne vois pas ce qu'il apporte, si ce n'est une touche personnelle que tout le monde commente à longueur de journée et qui est essentiellement de la vulgarité".

« De la vulgarité ».

Si parler aux pêcheurs de la côte ouest française en leur expliquant que le gouvernement va les aider, en leur faisant payer moins cher l’essence, qui représente un énorme budget pour mener à bien leurs activités… Si sauver des infirmières bulgares du sort qui leur était réservé en Libye (probablement la peine de mort)… Si faire ressusciter le traité constitutionnel européen (TCE) réputé défunt depuis les « non » français et néerlandais, pour que l’Europe ne soit pas un vain mot…

Si ces trois actions, pour ne citer qu’elles, mises en œuvre par le chef de l’Etat français représentent pour Vincent Peillon « essentiellement de la vulgarité », alors M. Peillon, il me semble que le terme « vulgarité », que vous utilisez pour exprimer votre désaccord avec la politique menée par Nicolas Sarkozy, est inapproprié.

Comment peut-on en effet parler de vulgarité lorsqu’on cherche à tout pris à éviter des licenciements ? Comment peut-on parler de vulgarité lorsque Nicolas Sarkozy s’emploi à débloquer une situation européenne pourtant bien mal en point depuis le non exprimé par les français et les néerlandais ? Comment enfin peut-on parler de vulgarité lorsqu’un Président d’une République va tout faire pour sauver de la mort six infirmières bulgares ?